Bon, aller, c'est partit^^
J'éditerais au maximum ce message (jusqu'a ce que je ne puisse plus, nombre de lettres limites) pour rajouter les chapitres, sa fera moins éparpillé.Je vous le répète, c'est de l'écriture amateur, ne vous attendez pas a un chef d'oeuvre
Et ce n'est qu'une première version, sa aura besoin d'etre retravailler, mais j'ai de longues années pour sa^^
Donc le prologue et le premier petit chapitre, bon courage!
*************************Prologue
Royaume de Leîss
Village de TralmDe la fumée noire s’échappait du toit des maisons, la paillasse était réduite en cendre, quelques loups sauvage vagabondaient aux alentours, attendant que les envahisseurs lèvent le camps pour se jeter sur les cadavres.
Seuls quelques coups d’épée se faisaient encore entendre.
L’homme eu a peine le temps d’apercevoir le scintillement de la lame, et encore moins celui de comprendre ce qui lui arrivait.
Le chevalier, d’un coup violent mais élégant, lui incisa le bas ventre.
Le paysan tomba au sol dans un fracas, perdant son sang à une allure folle.
Le chevalier passa son doigt sur sa joue, la ou quelques gouttes de sang avaient fait irruption.
D’un geste instinctif, il se passa celui-ci sur sa langue : le sang était encore tiède, salé.
Il essuya sa lame sur sa manche, et fit demi tour, la où ces hommes l’attendaient.
-C’était le dernier... marmonna t’il en attrapant les reines de son cheval.
-Monseigneur Victor, que faisons nous ?
-Nous rentrons a Ourkia, le Roi sera content... le dernier de leur village a été anéantis, nul raison de rester plus longtemps dans ce Royaume...Il regarda une dernière fois les ruines que lui et ces hommes avaient provoqués, les vautours volant au dessus de leur tête.
Un crachat fit la dernière chose laissée derrière lui, avant de partir au grand galop vers le Sud dans un nuage de poussière...
36 ans plus tard...CHAPITRE1
"Mort ? Oui, je le suis. Mort pour mon peuple, mort pour la survie d’Orâan.
Je n'étais rien.A présent je suis quelqu’un.
La victoire semblait acquise, mais ce ne fut que mensonges. Les doutes sont mort avec moi.
La menace ne provenais pas de ce que nous croyions tous.J'en ai la certitude.
Au bout du compte, j’ai échoué.
Il y a en nous des forces que nous ne maîtrisons pas, mais qui nous guident.
Elles nous guident vers ce que nous désirons le plus, s’il on veut bien être lucide.
Mais désirais-je mourir ? ....
Etais-je prisonnier de ce choix ? Assurément que non.
Nous ne sommes jamais prisonniers que de nous même, de notre manque de courage ou de détermination.
Par ma faute, la guerre est toujours la, faite d'armes, de sang, de larmes, de morts.
Mais les hommes ont omni un détail, rien n'est acquis..."
Royaume d’Ourkia
La FacultéL'air frais de cette douce nuit de printemps, propageant une odeur d'herbe fraîchement mouillée par la rosée, contrastait avec la chaleur qui pesait sur la faculté.
Les arbres de la clairière semblaient avoir prit vie, le vent faisant danser leurs feuilles dans une ambiance macabre.
Ivy Nindë s'approcha de la grande porte fenêtre, la faisant coulissé lentement, en prenant le soin de respecter le silence.Son corps tout entier frémit lorsqu’elle se faufila par la petite ouverture ; cause de la brute transition entre la chaleur du bâtiment et la fraîcheur de cette fin de nuit.
La brise vint lui chatouiller ses jambes nues, jouant sous sa chemisette blanche.
La jeune fille avança d'un pas téméraire sur le balcon, se rapprochant de son extrémité, là où une autre silhouette se tenait, immobile, appuyée sur la rambarde.
La petite lumière tamisée de la torche murale accentuait les reflets roux des fins cheveux de Ivy Nindë. Celle-ci remit en place sa frange, qu’elle touchait inlassablement.
Arrivée à la hauteur de son amie, elle lui posa sa main sur l'épaule.
-Linn . Je savais que je te trouverais ici.Linnhy tourna légèrement sa tête vers Ivy Nindë.
-Bonsoir Ivy. Que fais tu la ? Il est vraiment tard...
-C’est bien pour sa que je suis la...tu devrais être au lit, comme tout le monde.Si Renji te vois dehors en pleine nuit, je donne pas cher de ta peau. Aller, viens, on rentre, d’autant plus que tu dois avoir besoin de sommeil.Ivy Nindë se retourna, et repartie vers l'ouverture d'un pas léger, ses pieds nus sur les dalles.Arrivée au seuil de la porte, et se retourna une dernière fois.
-Linn! Dépêche toi!
-Je viens...La jeune fille contempla une dernière fois la beauté de la nuit, ce vent frais et humide sur son visage, et le ciel étoilé, immense et mystérieux, avant de se glisser à pas de loup vers la fine ouverture.
Linnhy est une fille plutôt bizarre, incomprise par certains, mystérieuse pour d’autres.
Ces origines lui sont totalement inconnue, et ces vagues souvenirs d’enfance bien insuffisant. Ayant été recueilli par un mage alors qu’elle n’était qu’un bébé, cet homme mourut alors qu’elle n’était encore qu’une enfant.
Linnhy est obsédée par ce passé dont elle ignore la consistance.
En passant le seuil de la porte, Linnhy lança un regard à son amie ; profond et triste, comme un signal de détresse que personne ne pouvait comprendre.
Tout doucement, les deux filles remontèrent dans la grande chambre commune, puis se faufilèrent dans leur lit respectif.
Linnhy attacha ses longs cheveux d'ébène et enleva d'un coup de main rapide les mèches restaient collées sur son front par la transpiration.Elle se glissa alors dans son lit, puis ferma les yeux pour trouver le sommeil.
Le lendemain
11h30La matinée s’était déroulée tranquillement, comme tous les jours.Le soleil, haut dans le ciel, tapait fortement, et le vent de la nuit s’était dissipé.
Les étudiants vaquaient tous à leurs occupations ; certains étudiaient, d’autres, profitant de ce beau temps, se prélassaient au soleil, dans le jardin de la faculté.
Cette école regroupait tous les meilleurs espoirs d’ Orâan, formés pour devenir des grands magiciens, ou bien des guerriers.
Courant dans un couloir comme une dératée, bousculant quelques élèves, faisant parfois tombée leurs livres en main, et ce contentant d’une brève excuse, Linnhy rattrapa enfin Benren.
-Benren ! Attends moi....cour pas comme sa, je n’ai plus de souffle !Le jeune homme finit par s’arrêter et fit volte face, s’asseyant sur le petit muret du jardin. Linnhy arriva à sa hauteur, et se pencha en avant pour reprendre son souffle.
-Laisse moi deviner...toi, tu es de mauvaise humeur à cause de ce Merimac.
-Tu n’y ai pas du tout Linn...La jeune fille lui fit un petit sourire plein d’ingéniosité, et le poussa pour s’asseoir à coté de lui.
-Tu sais que tu mens très mal…Aller, ai au moins la franchise d’avouer que tu es vexé parce que Merimac t’a battu, encore, au lancer de couteaux…
-…
-Sa n’a absolument aucune importance voyons..., tu sais très bien que ce prétentieux est le meilleur a cet exercice, il faut bien le lui reconnaître.
-…
-Aller, lui dit elle en lui tendant sa main, viens, allons manger, mon ventre crie famine. Et Ivy doit nous attendre depuis un moment.Le jeune homme se leva, passant une main dans ses cheveux châtain, toujours en épis, qu’il prenait un malin plaisir à ne pas coiffer.
Benren est l’ami le plus proche de Linnhy. Ayant pourtant un caractère totalement opposé ; Benren étant surexcité et farceur, Linnhy calme et réservée ; les deux jeune gens se sont apprécié dés leur arrivé dans cette faculté, il y a deus ans.
Les deux amis prirent le couloir nord, en direction de la grande salle, marchant d’un pas tranquille.
Rien ne semblait pouvoir troubler la tranquillité de la vie de tous ces étudiants.
Pourtant, sonnant comme une voix divine annonçant la fin d’une époque, les noms des deux amis résonnèrent quelques instants.
-Ben ! Linn !Benren et Linnhy se retournèrent d’un geste prompt, et virent arriver Ivy courant à grandes enjambées. La pétillante jeune fille n’avait plus un souffle lorsqu’elle s’arrêta a la hauteur de ces deux amis.Elle réussi finalement à articuler une phrase, en haletant.
-Vous ne devinerez jamais ce que j’ai entendu...Au même moment
Royaume d’Ourkia
Château Chësll-Lusc !!Hâtez vous !Le domestique glissa la dépêche dans sa manche, avant de sortir de la chambre en toute hâte. Il se dirigea vers les écuries, la où son maître l’attendait.
-Je suis la Monseigneur...Il se pencha respectueusement, attendant un nouvel ordre.
-As-tu bien donné la dépêche à mon messager ? Elle doit arriver dans les plus brefs délais !
-Oui Monseigneur, je lui ai remis ce matin, selon vos ordres.
-Bien, très bien...Un sourire machiavélique se dessina sur le visage aux traits durs de cet homme. Il ôta la selle de son cheval, et la remis a Lusc.
-Monseigneur Victor. Le roi désire s’entretenir avec vous tout de suite.Le garde ne dit pas un mot de plus, il avait déjà fait demi tour. Victor se retourna vers Lusc, lui ordonnant de finir de déceler son cheval. Lusc s’inclina, et Victor sortit des écuries.
Son maître partit, Lusc se dépêcha de sortir la dépêche de sa manche, les traits de son visage tendus par la peur.
Il déchira celle-ci, et s’empressa de répartir les morceaux dans le fumier.
Légèrement soulagé, le jeune homme continua son travail.
Royaume d’Ourkia
La Faculté-Tu es sur de ce que tu dis Ivy ?
-Je ne plaisante pas Linn, je les ai vraiment entendu, je n’ai rien inventé.Benren s’assis au sol, tenant sa tête entre ces mains.Le jeune homme était totalement secoué par la nouvelle.
Les récits de la grande guerre l’avaient toujours fasciné, mais faire parti de cette guerre ne le réjouissait plus autant. Il finit par se redresser, ne voulant pas étaler son inquiétude.
-Si tu dis vrai, ils ne devraient pas tarder a nous réunir, c’est une nouvelle bien trop importante pour être gardé pour soi. Linn et Ivy regardèrent Beren s’éloigner en direction de la grande salle. Il n’était visiblement pas dans son assiette.
Beren vacillait sur ces jambes, et du prendre appuie contre un des murs pour éviter la chute. Après moult tâtonnements de celui-ci, il parvint jusqu'à un petit banc.
Ces souvenirs lui revenaient de façon violente, provocant toujours au jeune homme une déstabilisation totale. Le hurlement d’une femme, celui de sa mère, les cris enragés de son père, la maison qui brûlait, les marques de griffes partout, le cadavre de sa sœur cadette à l’étage.Le garçon ferma les yeux un instant, laissant un fine larme dévaler le long de sa joue.
Ivy et Linn vinrent finalement le rejoindre, lui posant une main sur l’épaule.
-Pardonne moi, je n’aurais pas du t’annoncer sa.Benren secoua la tête, il était émotif, certes, mais ne tenais pas à être mis à l’écart. Pour détourner la conversation, il reprit la parole.
-Comment la contamination a-t-elle pu reprendre ? Je croyais qu’ils avaient tous étés exterminés il y a 36 ans...De plus, il me semble bien que Marcus les avait privé de leurs capacités a surdéveloppé leurs pouvoirs...alors d’où puiseraient ils leur force ?Ivy poussa un petit soupir.
-Je n’en ai pas la moindre idée... Mais le plus étonnant, c’est qu’en allant au sous sol, j’ai trou...GOOOOOOOONNNNNGLe signale de rassemblement retentit, coupant Ivy dans sa phrase, a son grand désespoir.
*******************Fin de ce petit chapitre. Comme vous le constatez, l'écriture est encore maladroite, ce n'est pas vachement consistant, et il ne se passe pas grand chose. Mais bon, faut bien un début
J'accepte avec choix toutes les critiques constructives, celles qui peuvent me permettre de m'améliorer!
J'éspère ne pas vous avoir trop décu, et si c'est le cas, désolé pour la lecture!
Le deuxième chapitre est plus long, et met en scène plus de personnages.Si sa interresse quelqu'un, qu'on me fasse signe^^